Toutes les phrases entre guillemets sont des citations tirées du texte français du film. Le film existe en DVD et Blu-Ray depuis l…, J'ai vu ce film 1 fois il y a très longtemps à la…, Bah moi, je confirme que le doublage quebecois, c'…. Bienvenue à Gattaca Andrew Niccol, États-Unis (1997) Genre : Science-fiction Écriture cinématographique : Fiction Durée : 1h46. Entrez. Ce qui permet à … Marie Bétaucourt Groupe des Formateurs Lettres - Académie de Lille Fichiers. Oui, mais : courte-focale.fr/jeu… #jeuxvidéo, [Critique] Dans la famille Cronenberg, je demande le fils. Bonjour. Ce naïf faisceau de bienveillances, guère compatible avec un univers d’incommunicabilité, est souligné par de nombreuses allusions, des expressions faciales et corporelles. Voir plus d'idées sur le thème bienvenue à gattaca, affiche film, affiche minimaliste. Et presque rien de plus – c’est là l’aberration contre laquelle Vincent se révolte. (4) Mis en contact avec Jerome Morrow (Jude Law), un Anglais au profil génétique impeccable mais cloué dans un fauteuil roulant suite à une tentative de suicide (5), Vincent se transforme physiquement en Jerome – qui voudra désormais être appelé Eugene (6) – notamment au prix d’un agrandissement douloureux (7), et intègre, grâce à mille précautions et subterfuges (récurage quotidien, poches de sang et d’urine d’Eugene…), l’élite de Gattaca, où il avait déjà travaillé en tant que Vincent dans l’équipe de nettoyage(8). Une fois utilisée, la cabine de douche brûle tous les restes, puis le personnage enfile des poches d'urine sur sa jambe, remplit des bouts Affiche de film française de BIENVENUE A GATTACA de Andrew Niccol - 1997. C’est … Alors que la modification génétique est un sujet plus ou moins d'actualité, "Bienvenue a Gattaca" en parlait déjà, 10 ans plus tôt. Il y a cependant des petites différences selon les âges. Pouvez vous me dire pourquoi dans le film les acteurs et actrices portent des habits en référence avec les années 30 ( imperméable, chapeau du Panama et robes sophistiquées ? Nous sommes donc en présence d'une dystopie, c'est-à-dire une utopie qui aurait mal tourné. Il suffit d’avoir un seul prélèvement bénin du corps d’un individu pour pouvoir obtenir en un rien de temps, dans un centre de test, la séquence de son ADN et savoir ainsi s’il est « Viable » ou « Non-Viable ». Gattaca – Analysis. A l’écran, un choc dévastateur qui efface le film original de notre mémoire. Tandis que la perte de souffle de la jeune femme décuple l’intensité d’une scène de course-poursuite, l’handicap de Jérôme sert le beau suspense d’un passage où l’inspecteur de police vient vérifier la présence de Vincent/Jérôme chez lui, et où Jérôme doit monter en rampant les escaliers menant à sa chambre, où il est censé être convalescent… Ces corps que la société dans laquelle ils évoluent considère comme défaillants n’ont qu’à être présents dans le champ, confrontés les uns aux autres, pour que se dégage des images un sens, une dénonciation des absurdités du « système GATTACA ». HISTOIRE DES ARTS - BIENVENUE A GATTACA Le 25 avril 1953, la structure en double hélice de la moléule d’ADN est décrite dans un article de la célèbre revue … Parce que ce que dit cette histoire finalement simple (mais remarquablement écrite, et c’est bien sûr la limpidité de la construction qui donne cette impression de « simplicité »), c’est bien que la science ne percera jamais complètement le mystère de l’esprit humain, capable quant à lui de déjouer ses mécanismes à elle ; ou encore qu’il n’existe pas de gène pour l’esprit humain, comme le dit l’affiche américaine du film. Affiche de film française de BIENVENUE A GATTACA de Andrew Niccol - 1997. Il n’y a ni haine, ni violence. Même les actes et les paroles des protagonistes sont très souvent à double sens, jusqu’au vertige parfois : quand le père apprend la faible espérance de vie de son premier-né, il change son nom d’Anton en Vincent Anton, comme s’il était le brouillon du fils parfait qui suivra ; Jerome aspire son clavier d’ordinateur conformément à la politique aseptisée de Gattaca mais c’est surtout pour faire disparaître toute trace de son ADN ; Anton, faisant une prise de sang à Eugene, ne comprend pas le résultat qui lui prouve qu’il a devant lui Jerome Morrow (« À qui vous attendiez-vous ? Vous pissez sur commande. La première fois, je me suis demandée ce que je regardais, je n’avais pas dû comprendre grand chose ; la deuxième fois, je l’ai regardé en me disant que j’allais saisir le sens et l’âme profonds de ce film. Il va jusqu’à subir une chirurgie orthopédique pour allonger ses tibias de 5 crn. Vincent n’avait plus à se cacher, pensait-il et là, arrive le moment fatidique de la montée dans la fusée où, pour y avoir accès, il faut faire pipi et être testé « viable » ou « in-valid » alors qu’il se pensait à l’abris car déjà sélectionné depuis un bon ; malheureusement, cette scène était très prévisible – on pouvait tout de suite se rendre compte que Lamar savait depuis longtemps et qu’il le laisserait passer pour pouvoir montrer à son fils que quand on a un rêve, il faut le poursuivre et tout mettre en place pour l’atteindre. Tous sont justes et jouent une partition étendue sans théâtraliser leurs visages ou leurs corps désensualisés, laissant filtrer des émotions fugitives à toutes les étapes de leurs rapports mutuels, voire déborder leurs sentiments dans certains plans, comme la pudique scène d’amour entre Vincent et Irene ou celle de l’affrontement final des deux frères - l’océan sauvage étant dans les deux cas la métaphore ultime des passions libérées et la seule incursion de nature. Il est à noter qu'au casting de Gattaca, on trouve également Ernest Borgnine dans … Nous sommes donc en présence d'une dystopie, c'est-à-dire une utopie qui aurait mal tourné. De bout en bout, Bienvenue à Gattaca fait confiance à l’intelligence du spectateur et évite de donner la moindre leçon. Ainsi, c’est notamment à lui que l’on doit The Truman Show, Lord of War, plus récemment Time Out, mais surtout Bienvenue à Gattaca. est une anticipation, c'est-à-dire qu'il décrit le monde tel qu'il pourrait être demain. Et c’est dans un unique baiser lourd de désespoir que l’impassibilité corsetée de Jerome finit par se dissoudre, l’alchimie très spéciale entre l’acteur et sa partenaire – ils formeront un couple à la ville pendant plusieurs années après le tournage – rendant la scène particulièrement authentique. La beauté de l’actrice, que l’on pourrait qualifier de « pure » dans le sens où chaque gros plan sur son visage laisse supposer que son personnage est « Viable », « parfait », offre un contre-point percutant à cette insuffisance cardiaque qui suffit à priver Irene d’un voyage vers le satellite Titan. AVEC : Ethan Hawke, Uma Thurman, Jude Law, Alan Arkin… Produced by Andrew Niccol, Gattaca raises the question of eugenics, and beyond this issue, the role of … ». Il y a ce passage où, suite à une horrible opération destinée à alonger ses jambes de quelques centimètres afin de faire exactement la même taille que Jérôme, Vincent est allongé près de celui-ci, avec un dispositif métallique qui n’aurait pas grand-chose à envier à l’appareil de contention avec lequel évoluait le personnage de Rosanna Arquette dans Crash de Cronenberg. Est-ce bien Vincent, dont Anton prendrait la place (son corps réel vient se greffer au corps photographié de Vincent) ? En l'occurrence, il aborde une possible BIENVENUE À GATTACA. Mais le Jérôme Morrow que l’on découvre en début de film s’appelle en réalité Vincent Freeman (Ethan Hawke), un « Non-Viable », dont le développement n’a été confié qu’aux seules mains de Dame Nature et qui, petit, myope et cardiaque, n’a qu’une solution pour intégrer GATTACA et réaliser son rêve d’enfance : emprunter l’identité de Jérôme Morrow avec le consentement de celui-ci (Jude Law), ex-grand sportif qui a vu sa carrière brisée par un accident l’ayant rendu paraplégique. Bienvenue à Gattaca, Analyse March 10, 2016 Bienvenue à Gattaca, réalisé en 1997 par Andrew Niccol est un film de science fiction, qui a lieu dans une société eugéniste où le destin des hommes est imposé dès leur naissance, en fonction de présupposées aptitudes physiques et mentales Attention, cette vidéo contient des traces de chaton enrhumé. Jerome Morrow (Ethan Hawke) est génétiquement parfait, comme (presque) tous les enfants de cette société future. Vos yeux et vos oreilles s’en souviendront toujours. De bout en bout, Bienvenue à Gattaca fait confiance à l’intelligence du spectateur et évite de donner la moindre leçon. L’histoire est circonscrite par le but de Vincent et les profils des autres personnages sont définis par rapport à lui, avec pour conséquence des psychologies peu étoffées, comme celles des parents ou même d’Anton. Le suspense, ainsi, tient largement au corps du personnage central. Parce qu’en plus de Vincent qui se sert du sien comme outil de sa supercherie, il y a aussi Irene, la collègue avec laquelle il débute une relation et qui se sent inférieure aux autres en raison d’une insuffisance cardiaque, et bien sûr Jérôme Eugène Morrow (noté son deuxième prénom, où le mot gène est encore là), son complice, paraplégique. Dès le générique de début, le parti-pris de l’intimiste, le choix d’évoquer un monde fictif à travers les répercutions qu’il a à l’échelle la plus « modeste », celle de l’individu et de son corps, est exposé. La police enquête minutieusement, risquant à tout instant de percer à jour sa supercherie…. Format: 40x60 cm. Ainsi, les plus grands moments de suspense du film et/ou de panique du personnage sont engendrés par ces détails qui n’en sont plus : un cil de perdu qui peut fonder toute une suspicion, un contrôle d’identité pour lequel Vincent doit se débarrasser de ses lentilles de contact colorées, quitte à risquer la mort quelques minutes après en traversant une voie rapide qu’il voit trouble, ou encore des cheveux laissés dans le lit de son amante après qu’ils ont fait l’amour ! Andrew Niccol a le bon goût de le faire, parfois, sur le ton de l’humour : le médecin qui teste régulièrement Vincent lui dit, en le regardant uriner, « Vous ne vous cachez jamais. » Andrew Niccol Dystopie. PRODUCTION : Jersey Films, Columbia Pictures Corporation Chaque revisionnage est une nouvelle confirmation de la lenteur inhabituelle avec lequel le film vieillit – au sein d’un genre auquel l’évolution ultra-rapide des technologies ne fait généralement aucun cadeau – et une consolidation de plus du statut qu’il a à nos yeux : celui d’œuvre de SF majeure. Écrit et réalisé en 1997 par le Néo-Zélandais Andrew Niccol dans la foulée de son scénario pour The Truman Show (Peter Weir 1998) et dont cest le premier film, Bienvenue à Gattaca (Gattaca dans son titre original) semble être lœuvre danticipation par excellence puisquil nous montre un « futur pas si lointain » (1) développé à partir de réalités scientifiques contemporaines telles que recherche sur les cellules souches ou clonage (brebis Dolly), séquençage du génome humain, dépistage de maladies par les gène… En l'occurrence, il aborde une possible dérive de notre société contemporaine, liée au progrès des connaissances sur le gène. », « J’ai su que j’étais loin de mon but quand je l’ai approché. Jérôme, candidat idéal, voit sa vie détruite par un accident tandis que Vincent, enfant naturel, rêve de partir pour l’espace. En s’attachant ainsi au corps, Bienvenue à Gattaca redécline et pousse à son extrême un motif récurrent de la SF, d’autant plus glaçant que l’on sait bien que nos sociétés n’y échapperont pas : la surveillance maximale, ou du moins la possibilité de sa mise en œuvre. « Je t’ai seulement prêté mon corps mais tu m’as prêté ton rêve. 2 Commentaires Contrairement à l’immense majorité des films de science-fiction, Gattaca peine à prendre des rides. Son film a beau être privé de gadgets étonnants et autres robots ultra-performants, dénué d’explosions et d’affrontements, son travail constant de l’image suffit à intriguer, à façonner un univers (à la fois au sens d’une société autre que celle que nous vivons et au sens d’univers visuel) et à véhiculer du sens. De fait, si chaque couple peut choisir le « meilleur » embryon, il peut bien en choisir un présentant une anomalie si celle-ci est envisagée comme profitable pour l’avenir ! A noter que dans la version originale, les policiers sont justement surnommés les « hoovers », en référence à la fois à ces aspirateurs (« hoover » en anglais) et au dirigeant mythique de la CIA, J. Edgar Hoover, interprété par Leonardo DiCaprio dans le nouveau film de Clint Eastwood, J. Edgar. Sans oublier d’évoquer les ravages que peut avoir une société fondée sur la recherche de la réussite à tout prix (la médaille de natation de Jérôme ne passe de l’argent à l’or que dans les flammes lorsqu’il s’immole par le feu), Niccol propose une parabole sur la foi en ses idéaux qui l’emporte sur le déterminisme, que celui-ci soit social ou, ici, carrément génétique. Un univers de science-fiction original Une remarque préliminaire s’impose : Bienvenue à Gattaca (1)est un film de science-fiction qui n’utilise que fort peu les codes visuels du genre : les trucages, les objets et les décors futuristes, voire extravagants, n’ont pas cours. DUREE : 1h46 DATE DE SORTIE : 29 avril 1998 « Bienvenue à Gattaca » affiche une simplicité étudiée. Séance 3 : Bienvenue à GATTACA . Sur le plan formel, Bienvenue à Gattaca affiche une simplicité étudiée, si proche de l’épure qu’on pourrait la confondre avec de la sécheresse. Le plus émouvant sera de constater qu’Anton, le fils exemplaire qui est devenu inspecteur de police et qui doit traquer son propre frère, ne réagira – en constatant le brio avec lequel Vincent a intégré GATTACA – qu’en se sentant défié. Avant de se lancer dans le cinéma, il a commencé par faire ses armes Le film d’Andrew Niccol, réalisé en 1997, évoque, dans un futur proche, une société totalement déshumanisée, prônant la perfection des individus. Thriller d’anticipation remarquable, qui déjoue le ravage des années en mêlant le futuriste et le rétro dans ses décors et son visuel, en optant pour la simplicité dramatique plutôt que la complexité technologique et en visant l’universel, Bienvenue à Gattaca est dans le fond une très belle fable philosophique. Présentation du film et analyses des principaux thèmes présents dans le film : eugénisme et bio-contrôle. REALISATION : Andrew Niccol Le pari Bienvenue à Gattaca (Gattaca) est un film américain d'anticipation et de science-fiction réalisé par Andrew Niccol, sorti en 1997. Pour que l’eurythmie entre retenue et expressivité, qui est l’ossature du récit, soit convaincante, il fallait une sélection d’acteurs pertinente. Et il y a aussi une incroyable inventivité dans les accessoires, curieusement rétros (voitures et costumes très sixties), qui renforcent paradoxalement le réalisme du film en le rapprochant d’une réalité vécue, et dans la foule de détails scénaristiques, comme l’escalier hélicoïdal rappelant le brin d’ADN, la médaille d’argent d’Eugene/Jerome virant à l’or sous la chaleur de la crémation, la mèche de cheveux, le montage parallèle du feu des tuyères de la fusée et des flammes de l’incinérateur – un départ pour la vie, un pour la mort -, la photo déchirée avec Anton qui apparaît dans le cadre ou l’extraordinaire effet d’échelle des ongles et poils de Vincent. Signe que l’on intègre vite les instincts qui fondent la société dépeinte dans le film, on suppose instantanément que les parents du dit pianiste auraient choisi que leur enfant naisse ainsi dans l’optique d’en faire un prodige (ou un « freak », c’est selon). De sorte que les personnages sont leurs empreintes, leurs poils, leurs peaux mortes, leurs cils, etc. (…) Je me demande pourquoi mes parents ne m’en ont pas commandée une comme celle-la… ». Mais, encore une fois, je me suis ennuyée et j’ai loupé le côté « eugéniste et Orwellien – entre autres » du film (faut dire que j’étais jeune et innocente). Bienvenue à Gattaca. Vincent lui aura redonné le goût et l’envie de vivre pour un instant, un instant seulement… Ainsi, outre une absence quasi totale d’effets spéciaux (rare en SF), le film juxtapose des séquences statiques, souvent elliptiques, presque toujours frontales, sans jeux de caméra, de multiplication d’angles de vue ou de morceaux de bravoure techniques à la Tarantino, réduisant la profondeur de champ et faisant l’impasse sur les scènes à nombreux personnages. De manière plus générale, le corps est placé au cœur de nombreuses séquences. La troisième (et sans doute dernière fois), j’ai bien tout compris (ou presque, je l’espère en tout cas) : la génétique menée à son paroxysme ne présage rien de bon pour l’avenir. Écrit et réalisé en 1997 par le Néo-Zélandais Andrew Niccol dans la foulée de son scénario pour The Truman Show (Peter Weir – 1998) et dont c’est le premier film, Bienvenue à Gattaca (Gattaca dans son titre original) semble être l’œuvre d’anticipation par excellence puisqu’il nous montre un « futur pas si lointain » (1) développé à partir de réalités scientifiques contemporaines - telles que recherche sur les cellules souches ou clonage (brebis Dolly), séquençage du génome humain, dépistage de maladies par les gènes, etc. Andrew Niccol, 1997. Niccol réalise Bienvenue à Gattaca, son premier film. Amélioré dès sa conception par la science et promis dès lors à une vie au sommet, Jerome est navigateur à Gattaca, le centre d’études spatiales. Présentation du film et analyses des principaux thèmes présents dans le film : eugénisme et bio-contrôle. Intéressons nous à autre chose qu’à nous-mêmes. Il est clair que sans ces liens qu’il a tissés, littéralement à son corps défendant, avec d’autres humains, Vincent aurait échoué. Voir plus d'idées sur le thème film, bienvenue à gattaca, affiche. Vincent réussit son entretien d’embauche grâce à une simple analyse d’urine et entre comme élève astronaute à Gattaca où il devient grâce à … Vincent Freeman (Ethan Hawke) a été conçu « à lancienne », cest à dire sans manipulation génétique. À quel point elle peut nous emmener loin. Homme de télévision à ses début où il travaille dans la publicité, il décide par la suite de se consacrer aux longs métrages. 8 Juin 2018 Amandine ROSSATO, 2018, français, analyse filmique, bienvenue à Gattaca Bienvenue à Gattaca : analyse filmique En quoi Gattaca se veut être une société plus idéale ? « En un sens, Bienvenue à Gattaca . - tout en s’en décalant de façon plus ou moins perceptible pour devenir une distorsion crédible, sonnant comme un avertissement quant à de potentielles dérives. Contemplatif, lumineux, romantique, intellectuel, peu démonstratif, dépourvu d’humour et de références (12), cynique mais baigné d’espoir : Bienvenue à Gattaca est un film en équilibre. Par ce simple effet, Niccol paraît poser la question de savoir lequel des deux frères est « l’intrus » de la famille. Anton devenu flic (on pourrait presque dire, simplement flic au vu de ses capacités initiales), ce que je me demande c’est s’il aurait pris le risque d’arrêter son frère soupçonné de meurtre si ce dernier n’avait été sauvé par le collègue d’Anton qui avait eu une idée de génie pour relever l’ADN du tueur qui prouvera qu’ils faisaient (lui et ses collègues) fausse route depuis le début. Voici donc notre analyse de la rencontre entre Cléo et Antoine courte-focale.fr/cin…, Werner Herzog qui revisite (sans l’avoir vu, paraît-il) le film culte d’Abel Ferrara ? courte-focale.fr/cin…, "Cowboy Bebop puise dans nos fantasmes. Dans un futur de moins en moins lointain, un homme tente de défier les lois de la génétique. courte-focale.fr/cin…. 2015 - Affiche du film et photogrammes. Je pourrais en écrire des lignes pour, au final, avoir la même réaction, je n’ai pas vraiment aimé ce film (pas au point de lui accorder 8/10), même s’il a des qualités scénaristiques et cinématographiques indéniables.
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